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AWIM25 CONFERENCE D’ADDIS ABEBA

Theme: Beyond Commitments: Advancing Policies for Gender-Safe Media

UNION AFRICAINE ETHIOPIE 4-5DECEMBRE 2025

Dès la cérémonie d’ouverture, rassemblant une centaine de personnes venant principalement des médias et autorités médiatiques, mais aussi des défenseurs des droits de  l’Homme, des  ONGs, des associations de la société civile parmi lesquelles PROTEGE QV , des institutions de la commission africaine des droits de l’homme, de l’UNESCO ; dès l’ouverture donc après les mots de bienvenus et d’usages protocolaires, le DR Yemisi AKINBOBOLA a indiqué l’objectif de la dite conférence en faisant savoir qu’il s’agit de faire avancer les politiques en Afrique sur le respect des genres notamment les luttes contre les violences faites au genre notamment les femmes en première ligne, et ceci en sollicitant les pays africains qui trainent le pas à ratifier la Convention de l’Union Africaine en la matière , ainsi que le Protocole de Maputo sur le sujet, et de réitérer d’endosser, sensibiliser et ratifier la Déclaration de Kigali sur les violences faites aux femmes au sein des espaces médiatiques  en ligne et hors ligne.

L’autorité médiatique d’Ethiopie ainsi que la Directrice du département genre à l’Union Africaine ont mis l’accent sur la nécessité  que ce combat concerne la collaboration des hommes et femmes ainsi que les autres acteurs institutionnels pour un mieux- être au sein de la société, ceci passe par une redevabilité de l’application des états sur le respect des textes de loi et la non transigence sur l’application exemplaire des peines.

La rapporteur de la Commission Africaine sur les Droits de l’Homme a martelé sur le travail inlassable de l’Union Africaine pour une société sans conflit de genre notamment sur le respect de la liberté d’expression en Afrique, de même que l’UENSCO a mentionné ses engagements et ses travaux de recherche pour s’inquiéter sur le déclin du respect de l’exercice de la profession de médias depuis une dizaine d’années en Afrique marqué des violences sur ces derniers

Les autorités de conseil des médias,  de régulations et des opérateurs des plates-formes sont interpelés  pour veiller à la censure  tant dans l’espace physique que dans l’espace en ligne.

Plusieurs sessions des ateliers d’échange ont nourri les discussions, PROTEGE QV a pris part à 2 sessions notamment :

  • Media, innovation et opportunités résiliente en Afrique.
  • Opportunités et défis de l’implémentation des politiques des droits digitaux  dans l’espace des réseaux sociaux africaine.

PROTEGE QV en tant que panéliste dans l’atelier intitulé «Safer Digital Media for Women Journalists in Anglo and Francophone Africa » a présenté le travail qu’il mène avec l’appui de l’organisation POLLICY d’Ouganda, pour sensibiliser, renforcer las capacités de sa communauté de pratique de jeune femmes, pour travailler avec résilience sur l’espace digital tout plaidant auprès des institution sur les défis que rencontrent les femmes dans la société camerounaise.

Au sortir de la conférence, des engagements ont été pris par les communautés de pratique en terme d’action pour sensibiliser sur la Déclaration de Kigali d’abord au sein des médias,  au sein des CoP  et marteler sur la Convention de l’Union Africaine et le protocole de Maputo, en y associant d’autres acteurs identifiés, d’ici le premier semestre de l’année 2026.   Avis Momeni/PROTEGE QV

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