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Evaluation du respect des droits et libertés de l’internet en Afrique : Cas du Burundi, du Cameroun, du Congo, de la Côte d’Ivoire, du Sénégal et du Tchad

En vue de contribuer à opérationnaliser la résolution du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU du 05 Juillet 2012, qui affirme que  « les droits dont jouissent les personnes hors ligne doivent également être protégés en ligne », les organisations et experts indépendants de six pays d’Afrique Sub-saharienne ayant en partage le français comme une des langues nationales (Burundi, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Sénégal, Tchad) se sont engagés, avec l’appui de l’Association pour le Progrès des Communications (APC) et sous la coordination de PROTEGE QV, à développer un outil permettant d’évaluer si les gouvernements africains prennent des mesures pour respecter, protéger et garantir les droits humains en ligne.

Cet outil dénommé l’Indice Africain des Droits et Libertés de l’Internet (IADLI) a été construit dans une approche scientifique en s’adossant aux treize principes clés de la Déclaration africaine des droits et libertés de l’internet (DADLI) adoptée en 2016 par la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples à Banjul (Gambie).

Le calcul et l’interprétation de l’IADLI 2022 pour chacun des six pays a permis de relever  l‘urgence à améliorer l’environnement réglementaire, les pratiques et les capacités des acteurs concernant certains aspects des droits humains en ligne.

Le Policy Brief qui suit donne une synthèse des résultats de l’étude.

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